C’était enfin là. Le stock de tiroir en peuplier était nécessaire pour un projet sur lequel je travaillais et il n’était pas disponible sur mon support à bois. Il était assis dans mon coin boutique, un projet que je n’aimais pas. C’était une ancienne relique du travail du bois.
C’était si tôt ! C’était au lycée quand j’ai fait un petit coffre pour une fille que je fréquentais. La pièce a été bien accueillie par elle, alors j’ai construit une étagère sur laquelle elle pourrait s’asseoir. Nous avons rompu, comme cela arrive dans les fréquentations du lycée. Avant de déménager dans ma boutique, la bibliothèque était dans le sous-sol de mes parents.
Après qu’il ait été stocké dans mon garage, j’ai commencé à utiliser l’appareil pour le stockage. La base a commencé à ramasser des toiles d’araignées et les étagères étaient couvertes d’égratignures, de déversements et d’autres débris. Je ne voulais pas terminer l’unité. La surface extérieure revenait à la couleur brunâtre du peuplier encore à broyer.
Après avoir réorganisé mon magasin, j’ai réalisé qu’il n’y avait aucun but pratique pour l’unité, aucun moyen de l’accrocher et aucun espace au sol que je pouvais sacrifier. J’ai pu abandonner l’idée que moi et la fille allions un jour nous réunir.
Parce que les pièces mesuraient 7/20 cm d’épaisseur (à l’époque, je croyais que construire plus épais signifiait construire plus), je savais que je pouvais les récupérer.
Un autre projet que j’ai commencé dans le travail du bois prend de la place dans mon sous-sol. Il n’a pas de lien avec le lycée mais c’était ma première tentative de faire des jambes de cabriole. Ce mauvais garçon pourrait être le prochain.
Après avoir démonté l’unité, j’ai commencé à me demander si je n’étais pas le seul à avoir déconstruit un projet du passé. Je suis sûr qu’il y a quelques autres personnes comme moi. Sortez d’ici. Poste un commentaire. Faites-moi savoir que je ne suis pas le seul.
